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Monsieur Inwood

Les quartiers perdus

14.06.17

Les quartiers perdus

La liberté

Mes chers lecteurs,

Dimanche dernier, un de ces rares jours de liberté et de temps libre que nous avons en commun avec Elena, je décidais de l’emmener dans les endroits les plus secrets et protégés de Paris pour lui faire découvrir la facette méconnue de cette ville qu’elle cherche encore à connaître.

Le soleil nous offrant son meilleur visage et la chaleur ambiante me poussait à louer un scooter pour lui faire une surprise et faciliter nos déplacements, tout en vivant comme au Paris des années 60.

Sur le chemin, je récupérais fruits frais, croissants et pain au chocolat pour lui apporter son petit déjeuner préféré avant de prendre la route.

Une fois ses yeux ouverts, son petit déjeuner dégusté et son plus beau sourire paré, je lui prenais la main et l’emportais jusqu’à notre cheval moderne.

Quand Paris vous envoute

La première étape de notre parcours était la Cité Durmar, preuve de la survie du vieux Paris, où le temps semble s’être arrêté. Cette ancienne enclave maraichère vous offre un décor tout droit sorti des films. Ensuite, nous allions à la fameuse Rue Crémieux, petite rue pavée et pittoresque dans le quartier des quinze-vingt, au charme bucolique si singulier.

Quelques photos plus tard, nous atterrissions au passage du chantier, nommé en référence à un chantier de bois à brûler qui s’y trouvait il y a un siècle de cela, ou se trouve aujourd’hui de nombreux marchands de meubles et de nombreuses surprises cherchent à y être découvertes.

Après avoir déjeuné non loin de là, nous quittions le 12ème arrondissement pour rejoindre le square Montsouris, un lotissement qui fut construit comme HLM à l’époque pour accueillir artistes, ouvriers et artisans à l’après-guerre. On y retrouve une architecture hétéroclite cassée par des créations d’Art Nouveau.

Puis, je l’emmenais rue des Thermopyles, une des dernière voie aux gros pavés de Paris, pour se balader sous des arches de feuillages nous préservant de la chaleur, entourés de glycines superbes et fastes, retrouvant un aspect champêtre que nous ne pensions pas pouvoir voir ici.

Une bouffée d’air frais et de plaisir visuel plus tard, nous nous rendions à la Cité Pileux, petite cité méconnue du 18ème arrondissement. Après avoir obtenu l’autorisation du gardien, nous découvrions cette allée au charme si typique, marchant devant ces petites maisons parsemées de roses et leur mini terrasses.

Le soleil commençant à se coucher, nous allions vers notre dernière étape : La Villa Léandre pour passer un moment hors du temps, dans ce lieu discret où calme et plénitude se rencontrent.

Mes chers lecteurs, Paris est amour, Paris est merveille et ensoleille nos cœurs à toutes les heures, du lever au coucher du soleil, et ce genre de journée nous en fait prendre réellement conscience.

A très vite !

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